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L'IA pense-t-elle ?


L'IA pense-t-elle ?



 
Suite à l'avènement de Deepseek et l'AGENT AI autonome lancer par Open AI, mais surtout suite à ma participation aux impériales 2025 et à plusieurs certifications délivrées par des organismes comme LinkedIn et Harvard Online, j'ai réfléchi et essayé de confronter l'IA à ce qu'on nomme la pensée. Des personnes telles que Raphaël Enthoven ont essayé de répondre à des questions similaires dans son livre L'esprit artificiel. Moi aussi, j'ai voulu voir si l'IA pense d'une certaine manière. Il faut d'abord commencer par déterminer les définitions de ces concepts pour avoir les bases.


La pensée est une capacité, librement contrôlé , permettant la manifestation des idées.

Autrement dit, et plus précisément, c'est un pouvoir detenu qui permet l'apparition de concepts intelligible et impeccables (impeccables dans le sens où les idées sont dépourvues de défauts. Par exemple, quand on pense à un cercle, ce dernier n'est pas dépourvu de défauts, mais notre action pour le reproduire est défectueuse). Et pourquoi librement ? Car, d'une manière primaire, on pense nécessairement sans contrainte ou sans éléments qui nous poussent à penser.

(Nuance : je n'affirme pas que les concepts impeccables sont parfaits. La perfection n'est pas juste exempte de défauts, car elle est aussi le meilleur qui puisse exister. Cette dernière proposition doit être rajoutée pour éviter une confusion.)

Tandis que l'IA est un concept qui imite l'intelligence humaine par des moyens informatiques et algorithmiques.

Et par intelligence générale, on entend la faculté de comprendre (capacité à déterminer les choses qui régissent un objet de sorte à ce qu'il serait capable de l'expliquer), connaître (capacité à obtenir de la science) et raisonner (capacité à établir une cohérence dans les relations entre les propositions. Par exemple, toutes les rivières ont de l'eau, mais toute l'eau ne se trouve pas uniquement dans les rivières).

(Traduction rapprochée du Diccionario de español para extranjeros de l'Instituto Cervantes de Casablanca.)

Par algorithmique, on entend une suite d'étapes permettant d'obtenir un résultat à partir d'éléments fournis en entrée (selon la CNIL).

Suite à ces définitions détaillées mais nécessaires, on entend parfois des personnes dire que l'IA pourrait remplacer plein de choses, mais pas la pensée, car celle-ci est une chose qui extrait des idées de l'inconnu ou peut faire élaborer des arguments. Cependant, l'IA, avec des approches comme le fonctionnalisme, peut nous faire nous questionner quant à sa capacité à pensée. et on est en droit de se dire est ce que L'IA pensent d'une manière ou d'une autre ?

on verra que l'IA ne peut pas penser, pour l'instant, en dévoilant les limites de deux modèles (Fonctionnalisme et connexionnisme) permettant l'émergence d'une pensée IA et ensuite celle du concept de l'IA pensante, pour enfin l'analysez ce constat dans une perspective communicative.
Avant de commencer, je tiens à repellez que cet article à une vocation philosophique et non scientifique.

L'IA ne pense (pour l'instant) pas :

1. Le Cas du Fonctionnalisme :

Le fonctionnalisme est la doctrine selon laquelle ce qui fait d’une chose une pensée, un désir, une douleur (ou tout autre type d’état mental) ne dépend pas de sa constitution interne, mais uniquement de sa fonction, ou du rôle qu’elle joue, dans le système cognitif dont elle fait partie. Plus précisément, les théories fonctionnalistes prennent l’identité d’un état mental à déterminer par ses relations causales aux stimulations sensorielles, autres états mentaux et comportement.


(Traduction rapprochée du Stanford Encyclopedia of Philosophy)


c'est une Théorie dominante pour établir la pensée de l'IA, qui affirme que les états mentaux (composés de croyances, désirs, douleurs, mémoire, intentions et émotions) sont une fonction entre d'autres états mentaux ou stimuli externes, qui permettent la manifestation à n'importe quelle action, et que cela peut être un modèle pour reproduire l'esprit dans le cadre de l'IA.

1.1 : Selon ce modèle, l'IA n'aura pas de « liberté de pensée » (en absence de stimuli et d'états mentaux).


En partant du principe qu'il n'y a aucun état mental ni stimuli, sauf le choix X et Y, il y aura probablement trois actions possibles pour l'IA fonctionnaliste (qui peut etre en mode apprentissage non supervisé, supervisé et reforcement) :

Elle agit selon un objectif (avec souvent une approche utilitariste, probabiliste ou autre) prédéfini.

Elle agit par une instruction déjà établie sur comment agir dans cette situation.

Elle agit aléatoirement.

Ces trois actions, malgré leurs différents processus, ont un problème en commun : elles agissent uniquement s'il y a quelque chose qui les pousse à agir, pour ne pas dire de manière déterministe.

Le premier agit en raison de l'objectif, le deuxième agit en raison de l'instruction, et le troisième agit en suivant ce que le résultat de la variable aléatoire va donner.

Cela s'explique par le fait que l'IA ne peut fonctionner sans informatique. Un programme informatique ne peut agir sans instruction préalable. Il ne peut faire, au mieux, que donner l'impression qu'il agit sans suivre quelque chose.

Malgré des cas comme AlphaZero, qui a pu élaborer des stratégies innovantes par le biais de l'apprentissage par renforcement sans pour autant sortir d'un cadre d'un jeu d'échecs.

Par analogie, si je mets l'homme dans la même stimulation (sans états mentaux et stimuli, sauf le choix X et Y), y aurait-il une impossibilité à ce qu'il agisse sans aucune influence interne ou externe autre que le choix X et Y le poussant à agir ainsi ?

On démontre si c'est impossible : quand j'agis sans aucune influence interne ou externe, si j'agis, l'agissement est causé par le fait que je veux agir. Si je veux agir, c'est parce que j'ai la volonté d'agir. Dans ce cas, si on déconstruit la volonté, c'est l'envie de faire cet agissement. Or, l'envie est la manifestation d'un manque à combler, cela peut être même un désir ou un besoin. Ce sont les trois possibilités d'état si vraiment on veut être plus large. Mais le manque à combler, le désir ou le besoin ne se manifeste pas dans le cas du choix Y et X en raison des conditions, qui sont le fait d'avoir aucun état mental et stimuli à part ces deux choix. Donc, rien d'autre d'extérieur ne crée un manque, un besoin ou un désir. Et si ces trois concepts (manque, besoin, désir) se manifestent par le fait de ne pas avoir choisi, cela n'est pas possible, car je n'ai encore une fois aucun état mental. Il nous reste alors le « faire » dans la définition de la volonté dans cet situation, et le « faire » est justement le fait d'avoir la faculté de choisir X ou Y sans aucun état mental et, par conséquent, j'ai donc la faculté de faire n'importe quel choix sans que rien d'interne ou d'externe me pousse à agir.

Il n'y a donc pas d'impossibilité ontologique à ce que j'agisse face à ces choix sans influence interne ou externe (sauf celle du choix X ou Y).

Et le « faire », je le définis comme la faculté de pensée contrôlée par mon libre-arbitre sans états mentaux. On l'appelle la Liberté de pensée.

Les éventuelles objections :

1.1.1 : Peut-on penser sans langage ou même bruit (donc un état mental) ?

Dans ma démonstration, je pars du principe qu'on peut penser sans langage, car le langage et les états mentaux ne sont qu'une fonction qui permet la manifestation de la pensée. La pensée avec le langage n'est qu'un « output », mais l'inconnu avant d'être sorti par la fonction du langage serait « l'input » de la pensée. L'inconnu est ce que j'appellerais la Liberté de pensée (c'est-à-dire, la pensée sans langage ou états mentaux contrôlée par mon libre-arbitre). Et c'est justement cette Liberté de pensée qui nous donne la possibilité de choisir, de mouvoir, de contrôler notre pensée sans autre influence.

1.1.2 : Et s'il n'y avait pas de choix X et Y ?

Les choix X et Y n'étaient qu'un cas pour démontrer la Liberté de pensée pour penser sans états mentaux et encore plus sans stimuli, à l'exception de deux choix bruts. Mais surtout, cela démontre que l'IA sous un modèle fonctionnel ne pensera pas librement (donc ne remplit pas une condition nécessaire pour penser).

Maintenant qu'on a mis cela en évidence, la question sous-jacente serait : « Peut-on avoir la Liberté de pensée sans aucun stimuli tout court ?»

Les actions de liberté de pensée se manifesteront pas dans un cadre ontologique sans stimuli interne ou externe mais seront à un stade de latente (non manifesté). Cependant, on peut, seulement sans stimuli externe, avoir une manifestation de la pensée, qui serait de l'ordre de la conscience subjective. On aura le ressenti d'user de notre liberté de pensée, un état mentaux ne peut reproduire qu'une conscience accessible mais pas un ressenti subjectif car c'est un phénomène pour l'instant pas reproduisable (si on enlever l'option douleur du cerveaux, et qu'on touchant un objet chaud, on saisirait que c'est pas une actions à faire, car on sais que cet action peut avoir des effets indésirable sur la peau, mais si on reactive l'option douleur, et qu'on refait la meme action, il y'aura une dimension en plus qui n'est pas juste la reaction systemique entre cerveaux et stimuli car il-y-a quelque choses en plus qui est le ressenti subjectif de cet douleur - exemple dérivé de la chaine Monsieur Phi ). Ces dimensions ne sont pas pour autant négligeables.

1.1.3 : Clarification du libre-arbitre dans ce contexte précis :

Une autonomie sans aucune influence quelconque — autonomie signifie ici la capacité à se gouverner par soi-même. Dans ce contexte, je me gouverne par moi-même par le fait de penser à faire le choix de X à la place de Y en raison de ma Liberté de pensée, qui est contrôlée par mon libre-arbitre.

2 : Le Cas du connexionnisme :


Le connexionnisme est une approche de l'étude de la cognition humaine qui utilise des modèles mathématiques, appelés réseaux de neurones artificiels. Souvent, ceux-ci se présentent sous la forme d'unités de traitement hautement interconnectées, semblables à des neurones. 

Il est utilisé pour la reconnaissance d'images et le traitement du langage naturel.

2.1 : Selon ce modèle connexionniste, la pensée de l'IA ne possède pas une pensée originelle.

Ce modèle met en évidence que les états mentaux émergent à partir d'une interaction de plusieurs activations de neurones, et qu'on pourrait reproduire cela sur l'IA.

Il est aussi bien admis que la pensée se manifeste par une fonction cérébrale, mais en sortant du cadre scientifique et en essayant d'agir sans contredire directement des constats empiriques, on va voir ce qu'on peut faire dans une démarche ontologique.

Car là, on a seulement la pensée manifestante qui émerge à partir d'interactions cérébrales. Peut-on vraiment nier l'existence d'une pensée non-manifestante, qui se manifeste derrière par des moyens cérébraux ? Alors, on ne peut pas exclure la pensée sur une possible pensée originelle.

La pensée originelle est l'état primaire de la pensée, et comment interagit elle avec le cerveau ? Elle interagit par le biais de la Liberté de pensée, ce qui la manifeste en pensée.

Et quel peut être le lien entre le concept de la Liberté de pensée et la pensée originelle ? La pensée originelle est le siège de la Liberté de pensée, étant donné qu'elle est un instrument de cette pensée originelle, qui est contrôlée par mon libre-arbitre.

3.Le Concept de l'IA pensante


3.1 L'IA ne peut pas faire manifester les idées dans leur forme impeccable

L'idée dans notre pensée n'est pas celle qui sort en dehors de celle-ci par d'autres moyens (à travers l'écriture ou quand on exprime un art). La différence entre celle qui est dans notre pensée et celle de notre post pensée est que celle-ci est défectueuse, en raison de la mort, et la mort est un default.

Prenons un exemple : la table à laquelle je pense, si je la construis, sera-t-elle aussi parfaite que celle que j'ai pensée ? Car si c'était le cas, cela voudrait dire que je suis un être sans défaut car j'ai des idées parfaite, mais l'homme meurt, et la mort est un défaut. la mort impacterait une choses parfaite, reduit ainsi sa perfectibilité. Et c'est justement la différence entre la pensée et les actions derrière la pensée qui nous donne une distinction face à l'IA. (la maison dans ma pensée est idéale contrairement à celle du plan ou construite car elle aurait pu constamment être meilleur que celle sortie en raison de l’altération humaine qui est un être mortel donc défectueux.)

 

Mais qu’est ce qui justifie dans la nature mortelle de l’homme cet altération ?, l’homme ne peut exprimer pleinement des idées (concept intelligible et impeccables) malgré qu'il est saisissent, pour 3 raisons :

- Elle est sortie d’un être défectueux, donc ses expressions sont entachées par son origine, reduisant ainsi l'impecabilité lors de son exprission.

- c’est une reproduction de ce que je pense, une reproduction n’a pas de caractère unique, ce qui fait l’action sortie de la pensée à nécessairement besoin de se manifesté en idée dans la pensée pour être exprimé en action

- elle est limité par tout ce qui sera relative aux contraintes physique et linguistique (si on supprime les symboles mathématiques comme 1, on pourra toujours penser à l’idée d’une choses par exemple)

 

D'une manière générale, l'IA, peu importe ses modèles de pensée, ils sont tous basés sur des modèles théoriques issus d'un ensemble d'idées défectueuses de l'homme (sans cracher pour autant sur le travail). Donc, quand elle va essayer de penser à l'idée d'un objet, elle va essayer de "penser" à des idées ayant une origine défectueuse dans leur « monologue intérieur » de l’idée que celui qui l’a conçu donc c’est une reproduction défectueuse d’une reproduction elle aussi défectueuse. et non une idée qui est un concept intellegible dépourvue de défauts qui est dans nos pensées. Car, contrairement à nous, elles peuvent faire rien de mieux que reproduire leurs « idées » avec une amélioration, étant donné qu'elles ont indirectement été faites dans cet objectif là : de corriger les défauts dans nos actions. Et c'est justement cela le problème, car cela veut dire :

qu'on est obligé de les faire passer par l'IA par des biais humain, on n'aurait aucun autre moyen de faire manifester pleinement des idées hors de la pensée sans passer par des biais. car l'impeccabilité de ces idées leur confèrent une propriété qui transcendent les biais auxquels on va l'associez (sa mise en forme du langage)

Car cela nous montre la raison pour laquelle l'IA ne peut pas penser à une idée (concept intelligible dépourvue de défauts), car l'IA est limitée à ce que l'homme a défectueusement établi ou ce qu'aurait pu défectueusement établir de la moins biaisée possible. Mais l'homme, malgré qu'il ne puisse l'exprimer, a la capacité de faire manifester des concept intellegible impeccables car ces idées ont une propriété qui transcendent les biais.

3.1.1 : Quelle est la différence entre ce que tu dis et celle de la théorie des formes ?

Je n'affirme pas que le monde sensible est une copie imparfaite du monde des idées parfait, loin de là. Je dis surtout que l'homme a une capacité exceptionnelle de penser des concepts qui sont dépourvus de défauts, mais que ces actions pour exprimer ces idées seront défectueuses. Et de plus, j'affirme surtout que les idées auxquelles on pense ne sont pas parfaites, car la perfection est un concept sans défaut et le meilleur qui puisse exister alors qu'une idée impeccable est juste sans default mais incomplète pour être parfait, car si l'idée de ma pensée était parfaite, elle dois emmener d'un être parfait or un humain n'est pas parfait du à sa nature mortelle, par conséquent l'idée est entaché par l'origine de celui qui l'émane ça réduit la perfection donc étant donnée qu'elle fut réduite, on l'a lègue aux niveau de impeccable donc sans default.


4. Perspective communicative : 

Dans un cadre lié à la communication et avec les modèles classique de Schramm et Saussure, on commence par définir la pensée.

La pensée (dans un cadre de la communication) est une capacité à émettre des idées de manière autonome.

On peut résumer notre argumentaire de la manière suivante :

A. L'IA ne possède pas d'autonomie de pensée propre à l'homme, étant donné que, face à deux options qui ne sont ni un "signifié" ni un "signifiant" au sens Saussurien du terme, un être humain peut choisir l'une ou l'autre avec autonomie.

B. On peut hypothéquer une pensée latente, qui permet l’émergence de la pensée grâce à une activité cérébrale complexe. L'IA ne pourrait être dotée de cette pensée latente.

C. L'IA est incapable de produire le signifié sans défauts remarquables, car les données qu’elle detient, modifiées par elle ou non, ont une origine imparfaite, non unique et irréproducible sans symbole et sans signe.

Conclusion


Les conditions pour que l'IA pense sont insuffisantes, étant donné qu'elle ne pense pas d'une manière libre. De plus, les modèles de pensée de l'IA sont insuffisants pour définir la pensée dans son ensemble possible (avec le concept de la pensée originelle). Enfin, on peut affirmer l'incapacité de l'IA à manifester une idée qui es un concept intelligble dépourvue de défauts dans sa pensée.

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